Chronique film : Little Miss Sunshine

de Jonathan Dayton & Valerie Faris

Ahhh que ça fait du bien de rire ! Sur les conseils, toujours très avisés de mon cher J., je suis allée voir Little Miss Sunshine. Je n’en avais nullement entendu parler, donc sans a priori.

LMS fait partie de ces films américains critiques et ironiques vis à vis du sacro-saint American Dream. Une famille, dans un « combi » (sorte de minibus) improbable, traverse les Etats-Unis pour que la benjamine (irrésistible petite gamine rondouillarde) de la famille participe à un concours de mini-miss.

Les personnages sont formidablement bien dessinés et interprétés (de l’oncle gay, suicidaire et spécialiste de Proust, au grand-père héroïnomane et obsédé). Le scenario, malgré quelques minuscules petites longueurs et facilités est un régal. C’est très joliment filmé avec un beau sens du cadre et des touches d’inventivité. On pense parfois à Jane Campion et Miranda July.

Le final est exceptionnel de drôlerie, après moultes péripéties, la gamine réussit à participer au concours de mini-miss et exécute sa chorégraphie … réalisée par le grand-père. Bon je ne vous dirai rien de plus, de peur d’en trop révéler. Courez voir Little Miss Sunshine ! Allez hop !

2 réflexions au sujet de « Chronique film : Little Miss Sunshine »

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