Chronique livre : L’Aliéniste

de Caleb Carr.

Pas grand chose à raconter sur ce polar de plutôt bonne facture. L’Aliéniste nous plonge dans le New York de 1896, à la poursuite d’un tueur en série qui zigouille méchamment les petits nenfants immigrés et travestis. Les méthodes d’investigations en sont à leurs balbutiements, la police scientifique peine à faire entendre sa voix (les empreintes digitales ne sont pas encore reconnues comme des preuves scientifiquement valables), et un psychiatre tente de « profiler », comme on dit maintenant, le tueur, bourreau, mais également victime d’une enfance dévastatrice. Ça se lit bien, ça divertit sans trop abrutir. On ne pouvait pas en attendre beaucoup plus.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Time limit is exhausted. Please reload the CAPTCHA.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.