de Quentin Tarantino.
On s’imagine la séance durant laquelle Tarantino survolté expose à ses producteurs revenus de tout le pitch de Django Unchained, à coup de Fucking revenge of the bloody black man before the fucking secession war travelling with a bloody german dandy killer. Et contrairement à Zero Dark Thirty, durant lequel je n’ai cessé de me demander à quoi pouvait bien servir ce film, la réponse avec Django Unchained est évidente : mais parce que c’est fun. Et par dessus le marché, le film est très loin d’être une complète crétinerie, et revêt même parfois une puissance symbolique assez ravageuse. Continuer la lecture de Chronique film : Django Unchained