de Jean Echenoz.
Ce 14, c’est quand même un drôle de truc. On passe son temps à se demander où il veut en venir, Jean Echenoz, et puis le livre se termine par une espèce d’élan vital assez miraculeux. Alors tout se met en place, et on ferme le livre en se disant qu’il y a tout de même un sacré écrivain, là, derrière, pour pondre ce petit bidule qui n’a l’air de rien, et qu’on referme pourtant l’oeil humide, le poil dressé, et le sourire aux lèvres. Continuer la lecture de Chronique livre : 14